Petit test du Honor 5C

par RemRem · Publié 2016-07-10 · Mis à jour 2016-10-21

Mon avis définitif sur l’honor 5C

Après le wiko fever (bonne expérience), j’ai dû changer de téléphone portable et après quelques recherches et comparatifs, il s’avère que, parmi les portables à moins de 200€, le honor 5C est celui qui ramasse la palme du meilleur choix. Ni une ni deux, je dégaine la CB et me voilà en possession de la bestiole. Bon, ne vous attendez pas à un retour complet du Honor 5C, ça ne fait que quelques heures que je l’ai dans les mains, mais j’ai déjà quelques trucs à dire…

Pour commencer, le package, de ce côté-là, téléphone à 200€, il ne faut pas s’attendre à du lourd, c’est simple et concis, comme sur les quelques portables que j’ai eus, les écouteurs (+micro) filaire sont … bas de gamme. Il y a une petite clé (cf. photos en dessous) pour ouvrir un tiroir contenant les emplacements SIM et SD. Le câble de rechargement (USB) fait environ un mètre, pas grand-chose à dire en plus sur le contenu. Je balance quelques photos et je parle un plus du Honor 5C en lui-même.

La boite du Honor 5C

Le dos de la boite contenant le Honor 5C

Le Honor 5C déballé avec tout le contenu de sa boite

le Honor 5C de dos avec les autocollants d’origine.

La petite clé d’ouverture du tiroir d’accès pour les cartes SIM et la carte SD

Le Honor 5C de face avant premier démarrage

Pour en revenir à la petite clé, en cas de perte, pas de panique, un trombone ferait parfaitement l’affaire. Le seul soucis que je vois c’est qu’en cas de galère (casse, plus de batterie…) il faut soit la clé, soit un trombone :/ Quelques photos pour éclaircir un peu cette histoire de tiroir…

La petite clé d’ouverture du tiroir d’accès pour les cartes SIM et la carte SD

L’ouverture du tiroir du Honor 5C

Le tiroir et sa clé permettant l’accès aux emplacement des puces SIM et de la carte SD.

Comme vous pouvez le remarquer sur la troisième capture d’écran, l’emplacement de la seconde carte SIM et le même que pour la carte SD, donc soit vous utilisez deux cartes SIM sans SD, soit une SIM avec une SD, c’est un peu con je trouve, mais bon, vous voilà prévenu ;) Pour rappel, les cartes SIM doivent être au format nano SIM, je me suis fait avoir, mais avec deux ou trois coups de cutter et de papier de verre une mini SIM devient une nano SIM en même pas cinq minutes.

Pour en revenir au portable, m’a toute première impression est qu’il est plus lourd que le wiko fever, pourtant à comparer les caractéristiques, il n’y a qu’un petit 13 grammes de différence (en défaveur du honor 5C). À part ça, la prise en main est agréable et la coque métallique au dos n’est pas désagréable. Le téléphone tourne avec un Android 6.0 Marshmallow avec la surcouche EMUI 4.1, ça passe bien, le téléphone est réactif, il n’y a pas trop de cochonneries d’installer avec l’interface. Le seul point négatif que je trouve à l’interface EMUI est la limitation à neuf raccourcis dans le tiroir de haut (lorsque l’on fait glisser son doigt du haut de l’écran vers le bas), ça m’a obligé à jongler entre les différents raccourcis le temps de trouver la configuration qui me convienne. C’est d’autant plus dommage qu’il y a la place pour en mettre 12…

Comparer au wiko fever, j’apprécie l’appareil photo que je trouve un poil meilleur, la possibilité de modifier la température de l’écran (ce qui joue sur les couleurs), la surcouche EMUI 4.1 (comparer à la surcouche du wiko fever) et l’autonomie batterie qui me paraît un poil au dessus du fever. Au rayon des regrets, l’écran est livré avec une protection film plastique à la c*n (j’avais apprécié le Gorilla Glass 3 du fever), cette histoire de tiroir pour l’accès à la SIM et cette histoire de raccourcis. Rien de bien méchant en soi, il faudra voir à l’usage…

Je publierai sans doute dans les prochains jours un autre article avec quelques retours en plus…

P.S. Je n’ai pas trouvé l’option pour chiffrer le téléphone oO